Vallotton, Hodler et Amiet en vedette
![Félix Vallotton (1865-1925), La Cagne et le Baou, 1922. Huile sur toile, 54,3 x 73,3 cm ©MAH, photo : B. Jacot-Descombes](https://artpassions.ch/wp-content/smush-webp/2017/01/HM4-2016-11_jacot_descombes_2016-300x221.jpg.webp)
La Cagne et le Baou, 1922.
Huile sur toile, 54,3 x 73,3 cm
©MAH, photo : B. Jacot-Descombes
![Cuno Amiet (1868-1961), Petit Cognassier, 1936. Huile sur toile, 65,1 x 54,2 cm © M. + D. Thalmann, Herzogenbuchsee, photo : B. Jacot-Descombes](https://artpassions.ch/wp-content/smush-webp/2017/01/HM2-2016-11_jacot_descombes_2016-251x300.jpg.webp)
Petit Cognassier, 1936.
Huile sur toile, 65,1 x 54,2 cm
© M. + D. Thalmann, Herzogenbuchsee, photo : B. Jacot-Descombes
Décédé à l’âge de quatre-vingt ans, Me Jean Clostre comptait parmi les personnalités de cette ville. Très cultivé, musicien, féru d’histoire et passionné d’art, et d’Antiquités, il était aussi un collectionneur éclairé.
Il offre au Musée d’art et d’histoire de Genève, quatre tableaux signés des trois plus grands peintres suisses du XIXe et du XXe siècle dans lesquels on retrouve Ferdinand Hodler (1853-1918), Cuno Amiet (1868-1961) et Félix Vallotton (1865-1925). Ces tableaux seront visibles dès le mois de février.
Rarement exposé, Marronniers au bord du chemin (1889) fait partie des paysages de Ferdinand Hodler que l’on peut qualifier de «portraits d’arbres».
Le Petit Cognassier (1936) de Cuno Amiet l’impose dans la maîtrise de la couleur et de la touche .
![Félix Vallotton (1865-1925), Anémones et Mandarines, 1914. Huile sur toile, 54,3 x 65,1 cm ©MAH, photo : B. Jacot-Descombes](https://artpassions.ch/wp-content/smush-webp/2017/01/HM3-2016-11_jacot_descombes_2016-300x249.jpg.webp)
Anémones et Mandarines, 1914.
Huile sur toile, 54,3 x 65,1 cm
©MAH, photo : B. Jacot-Descombes
Les Anémones et Mandarines (1914) de Félix Vallotton aux couleurs particulières (noir, vert olive, vert sale, rouge, orange, blanc, rose…), et enfin La Cagne et le Baou (1922), dans lequel le peintre transforme la vue d’une région qu’il affectionne en un univers irréel et stylisé.