PEINDRE LE MONDE – Une perspective flamande au XVIIe siècle

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19 septembre – 1er novembre 2024 Au XVIIe siècle, les peintres flamands peignent un monde authentique. Vivante, intemporelle ou parfois fantasmée, cette fenêtre sur leur époque évoque la vie et ses conditions tantôt heureuses, tantôt fragilisées. Leur regard curieux se porte sur l’être humain, la nature et la spiritualité. Ces illustrations défient le temps et notre sensibilité.Si notre œil est sur-stimulé par l’image, la photographie, la peinture et désormais l’image générée par l’IA, les artistes contemporains ont déjà fait l’aller-retour entre abstraction et hyper réalisme. Les Flamands eux, ont présenté leurs images à un public dont le quotidien est conditionné par le cycle des saisons et la religion. Ces derniers développent alors un langage de la description et de la perfection. Miraculeux, ce langage nous permet aujourd’hui d’entrer dans ces tableaux et de saisir l’époque. Et pour cause, dans les paysages, scènes de genre, natures mortes et portraits, la perspective flamande est celle de la précision, de la proximité avec la nature et de l’invitation à l’imaginaire.Par cette sélection de sujets exécutés par des artistes des Pays-Bas méridionaux, cet accrochage met à l’honneur par des factures singulières, la créativité, le génie plastique mais surtout l’éloquence de ces artistes.

19 septembre – 1er novembre 2024

Au XVIIe siècle, les peintres flamands peignent un monde authentique. Vivante, intemporelle ou parfois fantasmée, cette fenêtre sur leur époque évoque la vie et ses conditions tantôt heureuses, tantôt fragilisées. Leur regard curieux se porte sur l’être humain, la nature et la spiritualité. Ces illustrations défient le temps et notre sensibilité.

Si notre œil est sur-stimulé par l’image, la photographie, la peinture et désormais l’image générée par l’IA, les artistes contemporains ont déjà fait l’aller-retour entre abstraction et hyper réalisme. Les Flamands eux, ont présenté leurs images à un public dont le quotidien est conditionné par le cycle des saisons et la religion. Ces derniers développent alors un langage de la description et de la perfection. Miraculeux, ce langage nous permet aujourd’hui d’entrer dans ces tableaux et de saisir l’époque. Et pour cause, dans les paysages, scènes de genre, natures mortes et portraits, la perspective flamande est celle de la précision, de la proximité avec la nature et de l’invitation à l’imaginaire.

Par cette sélection de sujets exécutés par des artistes des Pays-Bas méridionaux, cet accrochage met à l’honneur par des factures singulières, la créativité, le génie plastique mais surtout l’éloquence de ces artistes.

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