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Il y a 500 ans mourait un peintre de génie dont l’audace est célébrée cette année par une rétrospective dans sa ville natale, ’s-Hertogenbosch. Dix-sept tableaux du maître sont réunis pour l’occasion.
Il est de ces inclassables, de ceux dont les images font « tilt ». Des peintures hissées au rang d’icônes et un vocabulaire pictural reconnaissable au premier coup d’œil. André Breton et les Surréalistes ne s’y sont guère trompés : Jheronimus Bosch, « visionnaire intégral », avait une longueur d’avance et une manière en marge de son temps. Le mystère autour de son existence coïncida longtemps avec les énigmes peintes du natif de Bois-le-Duc (´s-Hertogenbosch en flamand).Trop peu de documents attestent les faits d’armes de ce contemporain d’Albrecht Dürer et Léonard de Vinci et la chronologie de son corpus demeure toujours hypothétique. En 2007, le Bosch Research and Conservation Project posait les premières pierres d’un projet de longue haleine : étudier à l’aide de sérieux moyens technologiques les oeuvres du peintre, les documenter, puis faire revenir dans la ville qui l’a vu naître certains de ses chefs-d’oeuvre 500 ans après sa disparition.
Jheronimus van Aken partage l’atelier familial établi depuis deux générations sur la Grand-Place, mais se distingue de ses aïeux en usant d’un patronyme original, inspiré de la ville où il réside. D’origine modeste, celui qui signe désormais « Bosch » épouse une riche bourgeoise grâce à qui il accède à une clientèle de haute volée. Membre pieux de la Confrérie de Notre-Dame, il semble qu’il ait vécu dans une réelle aisance et n’ait jamais quitté l’enceinte de sa ville et moins encore franchi les frontières de sa province brabançonne…
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