Un certain M. Piekielny de François-Henri Désérable

Photo un certain M. Piekielny 2
À lire impérativement. François-Henri Désérable, jeune écrivain talentueux et plume chez Artpassions, nous emmène dans une enquête effrénée avec son troisième roman Un certain M. Piekielny sorti le 17 août chez Gallimard. Roman bourré d'érudition qui donne envie de se replonger dans la bonne littérature. C'est drôle et se lit d'une traite... "Quand tu rencontreras de grands personnages, des hommes importants, promets-moi de leur dire : au n° 16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny..." Quand il fit la promesse à ce M. Piekielny, son voisin, qui ressemblait à "une souris triste", Roman Kacew était enfant. Devenu adulte, résistant, diplomate, écrivain sous le nom de Romain Gary, il s’en est toujours acquitté : "Des estrades de l’ONU à l’Ambassade de Londres, du Palais Fédéral de Berne à l’Élysée, devant Charles de Gaulle et Vichinsky, devant les hauts dignitaires et les bâtisseurs pour mille ans, je n’ai jamais manqué de mentionner l’existence du petit homme", raconte-t-il dans La promesse de l’aube, son autobiographie romancée. Un jour de mai, des hasards m’ont jeté devant le n° 16 de la rue Grande-Pohulanka. J’ai décidé, ce jour-là, de partir à la recherche d’un certain M. Piekielny.»

Photo un certain M. Piekielny 2À lire impérativement. François-Henri Désérable, jeune écrivain talentueux et plume chez Artpassions, nous emmène dans une enquête effrénée avec son troisième roman Un certain M. Piekielny sorti le 17 août chez Gallimard. Roman bourré d’érudition qui donne envie de se replonger dans la bonne littérature. C’est drôle et se lit d’une traite…

« Quand tu rencontreras de grands personnages, des hommes importants, promets-moi de leur dire : au n° 16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny… »
QuFHDand il fit la promesse à ce M. Piekielny, son voisin, qui ressemblait à « une souris triste », Roman Kacew était enfant. Devenu adulte, résistant, diplomate, écrivain sous le nom de Romain Gary, il s’en est toujours acquitté : « Des estrades de l’ONU à l’Ambassade de Londres, du Palais Fédéral de Berne à l’Élysée, devant Charles de Gaulle et Vichinsky, devant les hauts dignitaires et les bâtisseurs pour mille ans, je n’ai jamais manqué de mentionner l’existence du petit homme », raconte-t-il dans La promesse de l’aube, son autobiographie romancée.
Un jour de mai, des hasards m’ont jeté devant le n° 16 de la rue Grande-Pohulanka. J’ai décidé, ce jour-là, de partir à la recherche d’un certain M. Piekielny.»

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