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Sus au bon goût ! Le champion de la déculturation de l’art, chantre de la subversion esthétique et père de l’Art Brut et de Coucou Bazar est à la Fondation Beyeler en jardinier paysagiste des métamorphoses. – Françoise Jaunin
« L’art ne vient pas se coucher dans les lits qu’on a faits pour lui ; il se sauve aussitôt qu’on prononce son nom. Ce qu’il aime, c’est l’incognito, ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s’appelle ». La phrase de Jean Dubuffet (1901-1985) est archiconnue, mais c’est d’habitude à propos de l’Art brut qu’on la cite, cette création des marges dont il fut le découvreur. En réalité, elle concerne tout autant son travail à lui. « Le vrai art est toujours là où on ne l’attend pas » : tel était son credo, côté artiste aussi bien que côté collectionneur.
Longtemps, ce fils de prospères commerçants en vins du Havre a tout fait – ou presque – pour échapper à la peinture qui pourtant l’aimantait irrésistiblement. Monté à Paris après son bac pour y suivre les cours de l’Académie Julian, il les sèche bientôt pour travailler seul. Mais les doutes qui le rongent le forcent à abandonner ses pinceaux…
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