Le Musée Jacquemart-André reçoit la cour des Médicis de Florence

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Le Musée Jacquemart-André reçoit la cour des Médicis de Florence Giorgio Vasari Arezzo, 1511 – Florence, 1574 Portrait d’Alexandre de Médicis  © Déjà, en leur temps, les Jacquemart-André grands collectionneurs avertis et sensible à la beauté ont fait l’acquisition de portraits de grands peintres italiens de la Renaissance, Ghirlandaio ou Salvati… L’exposition du Musée Jacquemart-André offre une large palette de portraits d’hommes et de femmes de la cour florentine au XVIe siècle. En effet, les nobles de cette époque voulaient tous leur portrait, pas de peinture idéalisée non, de vrais portraits ressemblants. Ces toiles sur lesquelles les patriciens revêtaient leurs plus beaux atours, bijoux, coiffures vêtements d’apparats reflétaient parfaitement cette période raffinée. Au-delà des aspects purement esthétiques de ces magnifiques portraits répétons-le, il s’agissait surtout à cette époque mouvementée, pleine de guerres, révolutions, assassinats en tout genre d’assoir leur puissance et leur statut social et cela à la postérité. Ce n’est pas moins d’une quarantaine d’œuvres qui sont suspendues grâce à des prêts multiples de Musées de Florence, Londres, Francfort et plus proche de Jacquemart-André…du Louvre. Paris, Musée Jacquemart-André du 11 septembre au 25 janvier Bronzino (Agnolo di Cosimo, dit) Florence, 1503 – 1572 Portrait d’Eléonore de Tolède, 1522, Huile sur bois Prague, NárodnÍ Galerie © National Gallery of Prague 2014

Le Musée Jacquemart-André reçoit la cour des Médicis de Florence

Giorgio Vasari Arezzo, 1511 – Florence, 1574 Portrait d’Alexandre de Médicis  ©

Déjà, en leur temps, les Jacquemart-André grands collectionneurs avertis et sensible à la beauté ont fait l’acquisition de portraits de grands peintres italiens de la Renaissance, Ghirlandaio ou Salvati…

L’exposition du Musée Jacquemart-André offre une large palette de portraits d’hommes et de femmes de la cour florentine au XVIe siècle. En effet, les nobles de cette époque voulaient tous leur portrait, pas de peinture idéalisée non, de vrais portraits ressemblants. Ces toiles sur lesquelles les patriciens revêtaient leurs plus beaux atours, bijoux, coiffures vêtements d’apparats reflétaient parfaitement cette période raffinée. Au-delà des aspects purement esthétiques de ces magnifiques portraits répétons-le, il s’agissait surtout à cette époque mouvementée, pleine de guerres, révolutions, assassinats en tout genre d’assoir leur puissance et leur statut social et cela à la postérité.

Ce n’est pas moins d’une quarantaine d’œuvres qui sont suspendues grâce à des prêts multiples de Musées de Florence, Londres, Francfort et plus proche de Jacquemart-André…du Louvre.

Paris, Musée Jacquemart-André du 11 septembre au 25 janvier

Bronzino (Agnolo di Cosimo, dit) Florence, 1503 – 1572 Portrait d’Eléonore de Tolède, 1522, Huile sur bois Prague, NárodnÍ Galerie © National Gallery of Prague 2014
Bronzino (Agnolo di Cosimo, dit)
Florence, 1503 – 1572
Portrait d’Eléonore de Tolède,
1522, Huile sur bois
Prague, NárodnÍ Galerie
© National Gallery of Prague 2014

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