Sotheby’s Genève présente sa première exposition-vente de photographies de Richard de Tscharner

Richard de Tscharner
Arabesque
Richard de Tscharner Arabesque
Richard de TscharnerRaindrops Du 15 au 25 septembre, Sotheby’s présente sa toute première exposition-vente d’œuvres d’art : Richard de Tscharner, Photographies. L’exposition se déroule dans les galeries de Sotheby’s et présente 22 clichés réalisés par le photographe suisse. Les recettes de la vente seront versées à la Fondation Carène, organisation à but non-lucratif qui fonde des projets d’éducation et de préservation culturelle autour du monde. L’exposition est ouverte au public. Né à Berne en 1947, Richard de Tscharner se passionne très jeune pour la photographie. Appareil en bandoulière, c’est dans les pas de son père – lors de nombreuses excursions dans les Alpes valaisannes – qu’il fait ses premières armes de photographe, développant au passage son amour des grands espaces et de la nature. Richard de TscharnerLa jetée par temps gris Si la photo n’a jamais vraiment quitté Richard de Tscharner, son parcours professionnel s’est toutefois orienté vers d’autres horizons. Il rejoint en 1972 le monde de la finance auprès de MM. Lombard Odier & Cie, dont il deviendra associé gérant en 1989. Plus de trente ans plus tard, Richard de Tscharner quitte l’association et la banque pour se consacrer pleinement à la transmission des valeurs qui ont guidé et inspiré son existence. La photographie reprend alors naturellement un rôle central dans sa vie, et le pousse à élargir son champ de vision: tout d’abord au cours d’un voyage quasiment initiatique au Mali avec son ami photographe Jean-Baptiste Huyn, puis lors d’un tour du...
Richard de Tscharner
Raindrops

Du 15 au 25 septembre, Sotheby’s présente sa toute première exposition-vente d’œuvres d’art : Richard de Tscharner, Photographies. L’exposition se déroule dans les galeries de Sotheby’s et présente 22 clichés réalisés par le photographe suisse. Les recettes de la vente seront versées à la Fondation Carène, organisation à but non-lucratif qui fonde des projets d’éducation et de préservation culturelle autour du monde. L’exposition est ouverte au public.

Né à Berne en 1947, Richard de Tscharner se passionne très jeune pour la photographie. Appareil en bandoulière, c’est dans les pas de son père – lors de nombreuses excursions dans les Alpes valaisannes – qu’il fait ses premières armes de photographe, développant au passage son amour des grands espaces et de la nature.

Richard de Tscharner
La jetée par temps gris

Si la photo n’a jamais vraiment quitté Richard de Tscharner, son parcours professionnel s’est toutefois orienté vers d’autres horizons. Il rejoint en 1972 le monde de la finance auprès de MM. Lombard Odier & Cie, dont il deviendra associé gérant en 1989. Plus de trente ans plus tard, Richard de Tscharner quitte l’association et la banque pour se consacrer pleinement à la transmission des valeurs qui ont guidé et inspiré son existence. La photographie reprend alors naturellement un rôle central dans sa vie, et le pousse à élargir son champ de vision: tout d’abord au cours d’un voyage quasiment initiatique au Mali avec son ami photographe Jean-Baptiste Huyn, puis lors d’un tour du monde extraordinaire, qui changera à jamais son regard d’homme et d’artiste. Parallèlement à sa carrière de photographe, Richard de Tscharner s’emploie, au travers de la Fondation Carène, à transmettre et à partager les deux piliers qui ont servi de référence à son parcours, l’éducation et le respect des traditions.

Richard de Tscharner
Sur la planète du petit prince

Co-Présidente de Sotheby’s pour la Suisse, Caroline Lang s’est exprimé au sujet de l’exposition:

 « Depuis toujours, Richard est à la recherche de beauté et d’harmonie. Sa quête le mène au plus proche de la nature et de l’homme, voyageant dans le temps et dans l’espace. Le poète William Blake nous a exhorté : « Voir un monde dans un grain de sable, Et un ciel dans une fleur sauvage, Tenir l’infini dans la paume de la main, Et l’éternité dans une heure. » Richard relève ce défi grâce à  l’objectif de son appareil photo : capturant un court instant, il nous offre un aperçu de l’infini. Perfectionniste, Richard crée des tirages argentiques, apportant à ses images un aspect traditionnel et intemporel. »

Lire les articles dans Artpassions No 43 et No 32

 

Aude Campanelli

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